En tant que président du plus ancien groupe de sociétés METL, fondé par son père dans les années 1970, Mo a exprimé sa gratitude pour cette reconnaissance et a humblement accepté le prix. Il a remercié la présidente Samia Suluhu Hassan d'avoir créé un environnement favorable et propice au développement industriel en Tanzanie.

Mo a souligné l'importance d'investir dans l'économie du continent africain et a félicité les autres lauréats des AABLA. Il les a encouragés à poursuivre leurs efforts pour contribuer à la croissance et à la prospérité de l'Afrique.

Avec une valeur nette de 1,5 milliard de dollars (3,6 billions de shillings tanzaniens), selon Forbes Magazine, Mo Dewji est classé comme la 13e personne la plus riche d'Afrique. Cependant, sa richesse a diminué de 300 millions de dollars en 2020 par rapport à l'année précédente. Dans une interview précédente avec Forbes Magazine, il a exprimé des regrets de ne pas avoir investi dans les secteurs de la banque et des télécommunications, évoquant des opportunités manquées.

Mo a expliqué qu'il avait hésité à investir dans les réseaux de télécommunications en raison de préoccupations concernant l'accessibilité des téléphones mobiles pour de nombreux citoyens. Néanmoins, il s'est montré optimiste quant à l'avenir et a l'intention d'explorer de nouvelles voies, y compris des investissements potentiels dans le secteur bancaire.

La reconnaissance de Mo Dewji en tant qu'Industriel de l'Année en Afrique met en lumière ses contributions remarquables à l'entreprise et à l'industrie en Afrique. Son parcours de réussite sert d'inspiration pour les entrepreneurs aspirants à travers le continent.